Discographie

Paroles : Sanche Parra
Musique : Planete Bolingo

Je suis pas celui que tu crois
Je suis pas celui que tu veux, tu vois
Je suis pas celui que tu crois
Je suis pas celui que tu veux, tu vois

On est tombé sur la tête
On est tombé sur la tête je crois
On est tombé sur la tête
On est tombé sur la tête je crois

Osez
Osez le feu
Osez
Osez le feu

Rendez-vous à la grande ourse
Tu me trouveras peut-être là-bas
Ou mort sur la route
Mordu par le grand Mamba

Je suis pas celui que tu crois
Je suis pas celui que tu veux, tu vois
Je suis pas celui que tu crois
Je suis pas celui que tu veux, tu vois

Osez
Osez le feu
Osez
Osez le feu

Osez
Osez le feu
Osez
Osez le feu

Paroles : Sanche Parra
Musique : Planete Bolingo

Aaaahhhh aaahhhhh
Si dans nos rêves on s’appartient
Je te retrouve avant l’aurore
C’est jusqu’à toi à l’infini
C’est jusqu’au bout de nos corps

Et si ce soir on s’abandonne
Qu’ils viennent nous chercher ici
On dansera comme un seul corps
On vibrera Kundalini

Eternel, flammes jumelles
Eternelles, on est les flammes jumelles

Aaaahhhh aaaahhhhh

Des souvenirs plein les yeux
Qui se fracassent à l’horizon
Et s’il ne reste que le feu
Du rêve de nos derniers frissons

Et si un jour tu me dis « Viens »
Je saurais te rejoindre là-haut
Et puisqu’on est les flammes jumelles
Je n’ai plus besoin de repos

Eternel, flammes jumelles
Eternelles, on est les flammes jumelles

Aaaaahhhh aaaahhhh

Paroles : Fabien Richard
Musique : Planete Bolingo

Tout est parti avec toi
Il ne reste que le vide
A remplir de silence
J’serais bien tenté, d’crier ou d’me débattre
Mais ça sert plus à rien d’se battre
Alors j’accepte, j’écoute et j’observe
Les pensées errantes qui m’émeuvent ou m’énervent

Même si la fleur en bouquet fane, et jamais ne renait
Quelle douce douleur de se recueillir
Sur la tombe de mes passions passées
En grandes pompes pour les années tassées

Mon grand tout s’est tiré
Maintenant y a plus que les p’tits riens qui m’touchent
C’est fini, c’est plié
Je lâche prise, je botte en touche

Assis comme Bouddha, fais le silence en toi
Derrière le brouhaha, la paix tu trouveras
Laisse pas tes émotions gouverner ta vie, fils
Même si t’es vif, tu vas t’échouer dans les récifs

Assis comme Bouddha, fais le silence en toi
Derrière le brouhaha, la paix tu trouveras
Laisse pas tes émotions gouverner ta vie, fils
Même si t’es vif, tu vas t’échouer dans les récifs

Alors je ferme les yeux, j’inspire, j’expire
C’n’est pas facile de ne faire qu’un
Quand on est plus deux
J’ai jamais su, j’ai jamais pu
Mais j’aurais dû, au lieu d’suer et transpirer
Simplement respirer
Mais j’apprends, doucement j’apprends
A être heureux et à m’aimer un peu

La grande pièce vide qui m’sert de cœur maintenant
Offre une superbe réverbe finalement
J’sais pas encore ce que vais mettre dedans
Mais j’ai le temps, j’vais être patient

Assis comme Bouddha, fais le silence en toi
Derrière le brouhaha, la paix tu trouveras
Laisse pas tes émotions gouverner ta vie, fils
Même si t’es vif, tu vas t’échouer dans les récifs

Assis comme Bouddha, fais le silence en toi
Derrière le brouhaha, la paix tu trouveras
Laisse pas tes émotions gouverner ta vie, fils
Même si t’es vif, tu vas t’échouer dans les récifs

Mélodie chantée

Fais le silence en toi
Assis comme Bouddha
Assis comme Bouddha
Fais le silence en toi
Assis comme Bouddha
Assis comme Bouddha
Assis comme Bouddha
Assis comme Bouddha
Fais le silence…

Paroles : Sanche Parra
Musique : Planete Bolingo

Partout j’apporte le vice
Je me noie dans les intrigues
Tout ce que je veux c’est que la police m’obéisse sur toute la ligne
Rejoins mon égrégore qui grossit comme une pense de porc
Comme l’a dit mon pote Vernon
« J’irai cracher sur vos tombes »
Tu sais toujours pas qui je suis
Voici un dernier indice
J’te donne tous les trésors pour que tu fasses tous les sévices

Je suis l’ombre
Je suis l’ombre
Toi qui croyais m’avoir semé
Il t’en reste encore
Il t’en reste encore
Il t’en reste encore
Il t’en reste encore

J’aime avancer masqué, je me confonds dans ton sourire
Tu crois bien que t’es aligné
Mais tu t’apprêtes à faire le pire
J’aime encore plus me cacher là où tu ne m’attends pas
Un mot d’amour dans ton cahier
Un beau tatoo sur ton bras
Ton âme dans le caniveau
Ton mental sur mon carrousel
Tourne, tourne les égaux dans un manège des plus charnels

Je suis l’ombre
Je suis l’ombre
Toi qui croyais m’avoir semé
Il t’en reste encore
Il t’en reste encore
Il t’en reste encore
Il t’en reste encore
Il t’en reste encore
Il t’en reste encore
Il t’en reste encore
Il t’en reste encore
Il t’en reste encore
Il t’en reste encore

Paroles : Adriana Vogelbein /Simon Sauzade
Musique : Planete Bolingo

Les rails rouillés craquent
Les mains mouillées frappent
Les perles sur le front et le cœur dans les talons
Les retards sont pour ceux qui ne croient pas en eux

Les gares sont souvent reines
Mais gare à toi si tu freines
Les larmes sont souveraines
Et les Hommes proches de la haine
Proches de la haine

La vie rouillée craque, place aux automates (place aux automates)
Les wagons civilisés transportent les civils usés
Dans les rames tractées, les esprits vont céder
Sauf si tu rames
Face à la foule excédée

Les gares sont souvent reines
Mais gare à toi si tu freines
Les larmes sont souveraines
Et les Hommes proches de la haine
Proches de la haine

Débranche ton cathéter
Coupe ton réseau
N’oublie pas la Terre
Ni le bruit de l’eau

Débranche la caténaire
Oublie le réseau
Retourne voir la mer
Et le vent dans les roseaux

N’attends pas qu’on t’éclaire sur ta vie de misère
Lève ton nez en l’air
Reviens sur Terre avant de cramer tes dernières poussières

Les gares sont souvent reines
Mais gare à toi si tu freines
Les larmes sont souveraines
Et les Hommes proches de la haine

Les gares sont souveraines
C’est le moment vas-y freine !
Les mains sont souvent reines
N’aies plus peur, prends la mienne
Prends la mienne

Paroles : Adriana Vogelbein / Simon Sauzade
Musique : Planete Bolingo

Tremblante dans son lit, elle regarde, par la fenêtre
La lueur pâle du ciel bleu-gris
Encore une journée trépidante
Entre les ombres et les cahiers

Sous le préau, des marionnettes
Autour d’elle s’agitent et s’effacent
Mais sous les verres de ses lunettes
Des traces de pas dans la glace

Au fond d’elle une musique surgit
De nulle part, dans l‘oubli
Son regard perce la nuit

Elle s’envole
Elle s’envole
Papapalapapapapala
Elle s’envole

Les courants d’air des couloirs
D’une éducation dirigée
Elle ne veut plus s’apercevoir
Que l’Histoire est erronée
Des notes d’espoir
Sur les murs, dans les lectures
Sur un bavard
Dessine sa tablature

L’enfant mûri, sors de ce nid
Et dans sa course égare tous les ennemis

Papapalapapapapala
Elle s’envole
Papapalapapapapala
Papapalapapapaaaa

Tremblante sur la scène, elle regarde
La lueur claire d’une symphonie
Ces milliers de gens réunis
Sans un bruit
Elle sourit

Paroles : Sanche Parra
Musique : Planete Bolingo

Sortons des cases et des cachots, on mérite mieux que ça
La politique est une prison qui nous maintient dans l’illusion
Déboulonnez-moi ces statues et brûlez-moi tous ces drapeaux
A l’unisson de nos pensées, créatrices de nos libertés

Brisez les chaînes et la télé, déchirez-moi tous ces journaux
Quittons toutes nos vieilles peaux et refusons tous les vaccins
Tout ça ne sont que des croyances
Déconnectons-nous des réseaux
Vibrons au son de la liberté
Travaillons notre immunité

Pas de surveillance, pas de satellite
Que des étoiles au-dessus de nos têtes
Et partout la nature existe, mais pour la voir faut que tu t’arrêtes
Religion, science, capitalisme d’un monde aseptisé, stérile
Plus aucun dogme résistant, que le respect du vivant
Sortons des cases et des cachots, on mérite mieux que ça
La politique est une prison qui nous maintient dans l’illusion
Déboulonnez-moi ces statues et brûlez-moi tous ces drapeaux
A l’unisson de nos pensées, créatrices de nos libertés

Ouhhhh ouhhhh ouhhhh
Pas de Trans humanisme, que des transes humanistes
On a déjà choisi, nous sommes les affranchis
Pas de Trans humanisme, que des transes humanistes
On a déjà choisi, nous sommes les affranchis

Nous sommes les animaux
Nous sommes les végétaux
Nous sommes les minéraux
Nous sommes les éléments

Nous sommes les animaux
Nous sommes les végétaux
Nous sommes les minéraux
Nous sommes les éléments

Libérez, libérez-moi
Libérons, libérons nous de ça

Libérez, libérez-moi
Libérons, libérons-nous de ça

Paroles : Sanche Parra
Musique : Planete Bolingo

Hey papa, je ne veux plus jouer
Tout seul, tu sais, à force de me laisser
J’apprendrai à vivre sans toi
Je te laisserai dériver sans moi

Tu m’as montré l’Afrique, mais seulement sur une carte
M’as dit « Ne jure pas, ou je te mets une tarte »
Pourtant dans ta bouche, c’est que des gros mots
Je préfère que tu m’emmène, dans ton sac à dos

Hey, hey papa
Hey, hey papa
Lâche ta guitare et occupe-toi de moi
C’est vachement bien quand tu t’occupes de moi
C’est vachement mieux quand tu t’occupes de moi
Ouvre ton cœur et lâche prise papa !

Aaaaahhhh ahhhhhh
La la la la la la ouh la la la la ouh

Est-ce que tu me vois grandir, remplir tout l’espace ?
Que t’as pas pris, manque de présence
Oui c’est vrai, qu’t’étais là
Mais est-ce tu m’as, regardé une fois ?

Avec tes yeux d’amours, tes bras qui m’enlacent
J’ai besoin de ta chaleur, j’ai peur de ton absence
S’il te plait quand t’es là, t’es là
Je n’veux pas d’un papa qui aboie !

Hey, hey papa
Hey, hey papa
Lâche ta guitare et occupe-toi de moi
C’est vachement bien quand tu t’occupes de moi
C’est vachement mieux quand tu t’occupes de moi
Ouvre ton cœur et lâche prise papa !

Aaaaahhhh ahhhhhh
La la la la la la ouh la la la la ouh

Paroles : Sanche Parra
Musique : Planete Bolingo

Sans ton sourire, je meurs
Sans tes caresses, je pleure
Et partout ton odeur
Le fruit de toutes mes peurs
Cries-moi que tu me déteste
Souille-moi de ta tristesse
Je serais tes caresses, je serais ton ivresse

Détruis-moi à petit feu, défonce-moi
Pour que je puisse ne serait-ce qu’un peu
Toucher du doigt, le mal que je t’ai fais
Laisse-moi me trainer à tes pieds
Que je sente dans mon ventre
Les souvenirs qui te hantent

Si de partout j’ai séduis
Que j’étais dans mes errances
Depuis de t’es partie
J’ai choisi la démence
Je sais même plus manger
Je ne vis que pour les enfants
Ces petits bouts de toi, nos souvenirs béants

Détruis-moi
Détruis-moi
Détruis-moi

Allez viens on va y croire
On se baignera nus dans l’amer
Et on sombrera ensemble
Dans les courants contraires

Si j’ai pas su t’aimer
J’te supplie de croire
Que mon cœur a serré
Sur cette dernière note d’espoir
Que mon cœur a serré…

Détruis-moi à petit feu, défonce-moi
Pour que je puisse ne serait-ce qu’un peu
Toucher du doigt, le mal que je t’ai fais
Laisse-moi me trainer à tes pieds
Que je sente dans mon ventre
Les souvenirs qui te hantent

Paroles : Adriana Vogelbein /Simon Sauzade
Musique : Planete Bolingo

La caméra au coin d’la rue te protège
La patrouille à ses pieds
La patrouille à ses pieds
Un bout de tissu sur ta bouche et tes pensées
La trouille à tes pieds
La trouille à tes pieds
On enflamme le progrès dans des machines de guerre
Pendant que tu pries Dieu et sa grande carrière
Palapapa, palapapaaa, palapapa
Ton corps sans âme consomme dans ta grande surface
Le quotidien l’emporte, ça passe et ça casse
Pourtant tu vois bien quand tu sors de ta bulle
Et que tu arrêtes d’avancer, comme un funambule
Que ta place est ici, dans une haie de rosiers
Et pas dans le plastique de l’ère conditionnée

J’n’ai pas de leçon à donner, ni à recevoir
J’écoute juste mon mental et mon espoir dérisoire
De voir un jour, le calme revenir
Et pouvoir à nouveau, respirer l’avenir

Ooooohhhhhh
Palapapa, palapapaaaa, palapapa
Alors abandonne ta routine qui te bouffe
Pendant que tranquillement la monarchie s’engouffre
Dans les moindres petites failles de ta peau
Même si tu penses que tu n’existes que quand t’as du réseau
Tu payes le prix de ta vie sans contact
Ton existence dirigée, dénuée de tact !

Ooooh ooooh, ooooh oooh, ooooh ooooh, oooooh, ooooooh
Quel feu couvres-tu, combien de flammes taies-tu ?
Seulement demandé, en est-tu sûr ?
Qu’ils ne vont pas s’embrasser ?
Qu’ils ne vont pas s’embraser ?
Tu penses tirer à toi la couverture
Mais les Héros sont prêts pour le Futur…

Palapapa, palapapaaa, palapapa

Mais c’est toi le liant, de cette mascarade
Retire-toi de cette folie et les puissants seront en rade
Regarde-toi dans un miroir, fais tomber le masque
Et arrête enfin de croire que tu subis tes frasques

Palapapaaa
Palapapa, palapapaaa, palapapa

J’n’ai pas de leçon à donner, ni à recevoir
J’écoute juste mon mental et mon espoir dérisoire
De voir un jour, le calme revenir
Et pouvoir à nouveau, respirer l’avenir

Paroles : Adriana Vogelbein / Simon Sauzade
Musique : Planete Bolingo

Tu n’as pas le choix, mais le choix de quoi ?
Le choix des médias ou le bien immédiat
Sors pas ! Pour chercher quoi ?
Tu es juste là, justement là pour ça !

Tu n’as pas le droit, mais le droit de quoi ?
Tu es le roi des lois
Mais pas celui des bois
Flamber dans l’émission ou briller dans ta mission

Tu ne sais pas, tu ne penses pas
Mais tu crois tout ce que tu vois
Tu ne sais pas, tu ne sens pas
Mais tu vois tout ce que tu crois

Reprends ta vie, laisse ton pouvoir dérisoire et vas te rassoir
Dame nature ne s’achète pas, pourtant c’est toi qui paieras
Elle ne s’achète pas (elle ne s’achète pas), mais à la fin
C’est toi qui paieras, ouais c’est toi
Regarde plus loin, que le bout de tes doigts
C’est toi qui changeras !

Tu ne sais pas, tu ne penses pas
Mais tu crois tout ce que tu vois
Tu ne sais pas, tu ne sens pas
Mais tu vois tout ce que tu crois
Tu ne sais pas, tu ne sens pas
Mais tu vois tout ce que tu crois

Ouhhhh
Ouhhhh

Tu ne sais pas, tu ne sens pas
Mais tu vois tout ce que tu crois

Tu ne sens pas
Mais tu crois tout ce que tu vois

Mais tu vois tout ce que tu crois